Alcool au féminin et au lesbien
Vous avez déjà vu un alcoolique chercher sa bouteille. Lorsqu'il retourne tout, le frigo, les placards. Il y a bien quelques bouteilles de vin. Mais non pas la bouteille de vin. Une bouteille ouverte se doit d'être vidée. Et là après quelques repas sautés, le coma est trop proche. Alors l'alcoolique a qui il reste quelques neurones, ne s'empresse pas de dégainer le tire-bouchon. Et puis tel vin va avec tel plat, et là l'alcoolique n'a pas faim. Il a soif !
Mais comme tout alcoolique, enfin je crois, il dit toujours qu'il va arrêter, qu'il a arrêté, qu'il essaie d'arrêter. Fier de lui, il clame ça fait « deux jours ! » Comprendre, ça fait deux jours que cette putain de bouteille lui fait de l'oeil mais il résiste. (oui l'Alcoolique ne tente jamais un arrêt sans roue de secours, c'est ainsi)
Après quatre jours il ne sait plus pourquoi il résiste. Après un mois, il n'y pense plus. Et puis, un jour un verre, deux jours deux verres, trois jours... Il se trouve guilleret l'Alcoolique avec quelques verres dans l'nez. Il a de l'humour. Il fait le pître. Il se sent bien. Et puis après c'est dans la solitude qu'il fait le pître. Dans la solitude qu'il pleure, hurle sa rage, imbibé qu'il est. Et puis il tombe. C'était bien l'effet escompté ?
Un jour j'aimerais parlé de ce couple.
Ce que j'ai vu, mais surtout vécu...
Raconter l'Enfer de l'Alcool.
L'Alcool au féminin et au lesbien.
Mais comme tout alcoolique, enfin je crois, il dit toujours qu'il va arrêter, qu'il a arrêté, qu'il essaie d'arrêter. Fier de lui, il clame ça fait « deux jours ! » Comprendre, ça fait deux jours que cette putain de bouteille lui fait de l'oeil mais il résiste. (oui l'Alcoolique ne tente jamais un arrêt sans roue de secours, c'est ainsi)
Après quatre jours il ne sait plus pourquoi il résiste. Après un mois, il n'y pense plus. Et puis, un jour un verre, deux jours deux verres, trois jours... Il se trouve guilleret l'Alcoolique avec quelques verres dans l'nez. Il a de l'humour. Il fait le pître. Il se sent bien. Et puis après c'est dans la solitude qu'il fait le pître. Dans la solitude qu'il pleure, hurle sa rage, imbibé qu'il est. Et puis il tombe. C'était bien l'effet escompté ?
Un jour j'aimerais parlé de ce couple.
Ce que j'ai vu, mais surtout vécu...
Raconter l'Enfer de l'Alcool.
L'Alcool au féminin et au lesbien.